KRAOMA S.A. se veut être une société minière éco-responsable. Elle dispose actuellement d’un service qui se charge des suivis de l’adoption du système Qualité-Hygiène-Sécurité-Environnement (QHSE) orientant progressivement le personnel et la population dans les zones d’implantation vers la promotion du « Développement Durable ». KRAOMA S.A. dispose d’un certificat de mise en conformité environnemental délivré par l’Office National pour l’Environnement (ONE) relatif à ses activités. L’évaluation environnementale au niveau des secteurs aurifères est en cours de réalisation.
Afin d’atténuer les impacts négatifs environnementaux, KRAOMA S.A a opté pour une politique de reboisement systématique sur ses périmètres. Elle dispose à cet effet d’une pépinière à Brieville cultivant des jeunes plants d’arbres destinés à être replantés.
KRAOMA S.A. contribue au PIB et soutient l’économie nationale à travers les investissements, les recettes d’exportation et les contributions fiscales et douanières qu’elle apporte. Les partenariats représentent un niveau d’investissement de l’ordre de plusieurs millions de dollars. Ces sont des Investissements Directs Etrangers (IDE). Les recettes d’exportations se situent entre 30 et 40 millions de dollars par an selon le prix de la chromite FOB Toamasina, soit l’équivalent de 1,2 à 2% des exportations totales de Madagascar. Quant aux recettes fiscales, KRAOMA S.A. aurait contribué à hauteur de 0,3% (Réf. Contribution macro- économique du secteur minier malgache pour l’année 2011) environ à l’ensemble des recettes fiscales à Madagascar. Enfin, KRAOMA S.A. verse à l’Etat Malagasy des obligations pécuniaires sous forme de frais d’administration minière auprès du BCMM (Bureau des Cadastres Miniers de Madagascar), d’impôts sur les revenus, de droits d’enregistrement des actes, de TVA à l’importation, de droits de douane, de droits d’importation, d’IRCM (Impôts sur les Revenus des Capitaux mobiliers), d’IFPB (Impôts fonciers sur la Propriété Bâtie), d’IRSA et d’impôts locaux.
KRAOMA S.A. maintient environ 600 à 700 emplois formels, et a contribué à créer plus de 2000 emplois indirects dans les chaînes de transport, restauration, fourniture de consommables.